Le DRAEEF: une nouveauté futuriste.

                   
  Le DRAEEF, Département de Recherches Archéologiques de l'Empire d'El Futuro. Sous le contrôle provisoire de Gonzales Aujourdhui, ce site est le tout premier de l'Empire à proposer de faire ses propres recherches archéologiques...

Penchons-nous plus en détail sur le fonctionnement de cette toute nouvelle institution.

1.Quelle utilité pour le DRAEEF?
Le DRAEEF va servir à deux choses essentiellement. Son but initial étant de proposer des recherches archéologiques, il hébergera également les anciennes pages des sites du groupe-site de manière à pouvoir encore les utiliser après leur retrait, et à pouvoir y faire des pèlerinages, pourquoi pas…
Le DRAEEF devrait expliquer les origines de l'Empire. Il ne faut pas oublier que le second monde reste très mystérieux, et que, à part les grandes périodes de l'histoire, on n'en connaît que très peu de choses.
Un bon moment de détente: l'une des ambitions du DRAEEF. Tous les citoyens devraient pouvoir participer à des fouilles, participer à des constats de fouilles, à des expositions. Ainsi, chacun pourrait se détendre tout en apprenant.
Rapporter de l'argent: c'est aussi l'un des buts du DRAEEF.

2.La direction du DRAEEF:
Le DRAEEF étant une institution impériale, il n'est pas possible que le dirigeant du DRAEEF soit une personne à l'origine des capitaux. Alors, l'Empereur a décidé que ce seraient des élections qui désigneraient le dirigeant du DRAEEF. Ainsi, même si la bataille politique est à craindre, le dirigeant, élu deux fois par vie (au minimum) correspondrait aux exigences des consultés (les élections universelle directe mobilisant trop de moyens, ce serait les consultés qui voteraient, et non pas directement le peuple).
Le dirigeant du DRAEEF toucherait un salaire en décalé. Selon ce qu'il aurait donné au DRAEEF (expositions, nouveaux sites de recherches) il toucherait à la fin du cycle de vie suivant son mandat son salaire.
Cependant, une question reste encore en suspens: qui payera? Le contribuable n'a peut-être pas à payer des frais supplémentaires… Alors, l'Empereur envisage de mettre ce salaire sur le dos de la caisse commune "de tous". Le contribuable ne devrait cependant pas voir cet impôt augmenter, mais une telle manœuvre empêcherait le remaniement de cet impôt, ce qui pousse certains à croire que la création de la DRAEEF serait un moyen détourné de faire payer plus aux citoyens que prévu.
En attendant la constitution d'un nouveau Consutloir qui se chargerait du vote, le DRAEEF est dirigé par Gonzales Aujourdhui.

3. Le DRAEEF: constitution illégale?
En effet, la Constituante prévoit que chacune des institutions impériales créées doit recevoir un cachet impérial de permission d'agir par la chambre consultaire des cachets. Cependant, cela n'a pu être réalisé, car en l'absence de Consultoir officiellement désigné par le peuple, on ne peut avoir de chambres consultaires. Seule la validation par l'Empereur a été réalisée, mais entre nous, est-il vraiment sérieux de valider l'obtention de quelque chose qui n'a jamais été obtenu?
Il se passe quelque chose de pourri au royaume d'El Futuro !
Cependant, en l'absence de Consutloir, il est vrai que l'Empereur a des pouvoirs illimités que seul son bon sens et sa morale brident, alors, on peut aussi admettre cette création sans rechigner: décision impériale!

4.Aujourdhui-site-net toujours sur le coup.
Comme on pouvait s'en douter, c'est l'entreprise Aujourdhui-site-net qui a dû se charger de la création physique de l'entreprise. Le design du site est encore et toujours aux couleurs de celui de l'Empire. Il arbore de belles nuances de bleu, et se décline sur un principe technique identique aux autres sites impériaux.
Encore habituellement, l'héberger est I(France) (l'Empire aurait-il un contrat avec ce site?). L'adresse du Département de Recherches Archéologiques d'El Futuro:
http://draeef/ifrance.com

Le DRAEEF est à visiter en version Alpha actuellement. Sa version Betha ne devrait pas tarder. Quant à la version définitive de ce site, on le prévoit en même temps que celle du site de l'Empire.

 
             

Gonzales Aujourdhui.
aujourdhui@ifrance.com